Une mission inutile [PV : jackouille ♥ ]

J'étais en mission. Barbe Noire m'avait confier la tache de retrouvé le compas du Capitaine Jack Sparrow... Bien sûr, je me doutais qu'il m'avait envoyer faire ce sale boulot pour ce débarrasser de moi, mais, d'un côté, j'étais contente de " voler de me propre ailes...". Avant de partir, il m'avait laisser quelques shillings et une épée, une très vieille épée, qui menaçais de ce casser au premier coup de vent. Je m'en allais donc, le sourire aux lèvres. Croyais-il que j'allais utiliser cette épée pour voler ce mystérieux compas au beau Jack ? Je me surpris a rire. J'allais utilisé un stratagème beaucoup plus efficace.. Angelica, que j'appréciais beaucoup m'avait parler du capitaine Sparrow, en le décrivant comme charmeur et baratineur. A priori, elle l'avait connu. Ce petit coup de pouce m'avait donc permis d’élaboré un plan. Je devais séduire Jack Sparrow, pour arriver a mes fins. Un jeu d'enfant, même j'avais pour cible un adversaire talentueux...
Je détacha donc une minuscule barque du bateau, et monta dedans. Normalement, La revanche de la reine Anne, comme j'aimais bien l’appeler, devait m'attendre a quelques encablures de Tortuga. Armez de mes deux rames, je partis vers Tortuga.
Arriver là-bas, je fus émerveillé. Tortuga était vraiment la plus belle île du Monde entier, d'ailleurs, je rêvais en secret d'y avoir déjà habiter. étrangement, a chaque fois que je venais ici, ces lieux me semblaient familier. Peut-être étais-je née ici... Mes parents y étaient-ils installés ? J'us un pincement au cœur. Je n'avais jamais eu de parents... Jamais. Je sortis de mes pensés en entendant un vieux pirate, munis d'une épée crié :

" Ce vieux Jack est ici ! Allons le saluer mes amis ! " Il beugla plusieurs fois cette phrase, comme si il récitait une formule magique. Mais.. La magie n’existe pas ! Si ? Puis, le pirate entra dans une taverne. Je levais la tête, pour apercevoir que cet endroit n'était autre que la fiancée fidèle. Sans réfléchir, j'entrais a l’intérieur.
Avec son bar immense, ses chaises usés par le temps, ses tables limez, les tables recouvertes de poussière avec même quelques traces de dents et d’épées, ses musiciens doués et surtout une bonne ambiance sans compter le barman toujours souriant…
Les bougies éclairaient les pirates jouant aux cartes ou se racontant leurs fabuleuses histoires en mers, surement fausses, comme toujours.
C'est la que je le vis : Le capitaine Jack Sparrow. Alors c'était lui ? La légende ! Il me faisais presque pitié... Il était si... ivre ? Non, ce n'était pas le mot. étrange ? la normalité est un vilain défaut ! négligé? ah ça ! c'est la meilleure...
Non... Juste : pitoyable. Je m'attendais a quelqu'un de plus grand, de plus beau et de plus... Il se retourna, maintenant, je le voyais de face. Ah ! Enfin ! C'était LE capitaine Jack Sparrow, avec son sourire narquois aux lèvres. J'étais rassuré... J'avais crus que le capitaine dont on m'avais beaucoup parlé n'était que balivernes.
Ma tête se pencha un peu sur le côté comme si je me rendais compte qu'il était là, comme si je m'étais rendue compte de la présence en face de moi en même temps qu'il s'était rendue compte de sa présence à elle en face de lui.
Je lui souris et murmura :

" Jack Sparrow..."

[Je suis très beau d'abord !! *boude*]

Le capitaine Jack Sparrow m'avait repéré. Il me sourit, un sourire séduisant...
Quand soudain, une poignée d'hommes arriva vers lui. Je les comptai, ils étaient trois. Trois pirates assez baraqués, jeunes et dangereux.... Le genre d'homme qu'aucune femme ne voulait rencontré... qu'aucun homme ne voulait défié... Ils dévisagèrent ma « victime », qui lui, avait porté sa chope rempli de délicieux nectar, qu'on appelait Rhum à ses lèvres...

Hé ! Sparrow ! Tu nous dois un combat !

Ils le connaissaient donc... Pas étonnant d'après moi. Même moi, une jeune fille ayant perdu la mémoire, je connaissais le capitaine du Black Pearl. Puis, l'un d'eux sorti son pistolet et tira sur la chope de Sparrow. J’échappai un petit rire, le capitaine n'avait pas l'air d'apprécier.... Il était sidéré, ce que je comprenais. Moi non plus, je ne voudrais en aucun cas qu'on me prive d'un boisson si délicieuse, si j'étais lui, je dégainerai mon épée sur le champ et réduirai en miette ces barbares. Jack Sparrow, lui, se leva, avec un air nonchalant, et sorti son épée. Les autres firent de même, quand a moi, je m'écartai un peu, car je me rendais compte que je me trouvais pile dans le champ de tire des quatre hommes, qui ne se souciaient guère d'une jeune femme.

Alors allons y.

Le combat était rude, malgré les attaques des trois hommes contre Jack, ce dernier avait l'air de faire une promenade de santé. Il enchaînait coup sur coup, je l'enviais. Que ferais-je pour me battre aussi bien ? Je vendrais mon âme pour pouvoir désarmer ce cher vieux Edwards Teach, et le jeté par dessus bord, avant de lui dire ces quatre vérités... Je souri devant cette pensée, une pensée très... subtile, si je puis dire... Quoi ?! Vous me prenez pour une psychopathe ? Faites comme bon vous semble... Cela fait bien longtemps que j'ai arrêté de me soucier de ce que pensais les autres de moi. Un cri de victoire m'a arraché a cette idée, l'un des hommes venait de désarmé le capitaine. N’écoutant que mon courage et négligent l'élaboration d'un plan, je sorti l'épée que m'avait donner Barbe Noire, et la lança en direction de Jack. Mon seul et unique but : donner un moyen au capitaine du Pearl de survivre a ce petit imprévu... Fermant les yeux, je priai pour qu'elle arrive dans les mains de Sparrow, je ne voulais pas qu'il soit tué. Je détestais voler les morts...
Je souris en entendant les cris d'admirations des pirates regardant le combat. Je décidai d'ouvrir enfin les yeux. Je poussai un soupir de soulagement, en voyant ma vieille épée dans la main du capitaine Jack Sparrow. Je ne le dépouillerais pas mort... Heureusement !

[Mais siii, tu es beau *_* va consoler Jackouille ]

[vouiiiiii xD]

Grâce a moi, Le capitaine gagna cette petite bataille... Qui fini en bain de sang général. Oui... Deux de ces ennemis avaient lâchement abandonné leur chef, mais ce dernier n'avait pas lâcher l'affaire. Jack arriva quand même a le désarmer et enfonça ma pauvre petite épée rouillé dans le ventre rebondi du pirate. Gagné ! Sparrow avait livré batailler, et comme toute les fois, s'en était tiré d'une pirouette agile. Je venais de me rendre compte qu'a chaque fois que Monsieur Sparrow était dans le pétrin, une aide lui venait de l’extérieur. C'était magique ! Je secouai un instant la tête pour évacuer cette pensée de ma boite crânienne. La magie, ça n’existait pas ! Le capitaine arriva vers moi, portant la chose répugnante qui lui avait sauvé la vie a deux doigts.

Je vous rend cette chose pleine de sang...

Je lui souris, d'un sourire assez glaciale. Mais que voulez vous ! Que je lui dise merci ? Il aurait pu la nettoyer... Je respirai un bon coup et me rappelai que je devais prendre ce mystérieux compas.
Quand a Jack, il avait du mal a dire quelque chose.


Merci...

Oh... C'était ce ridicule petit mot qu'il n'arrivait pas a dire. Venant de lui ça ne me paru pas grossier. C'est le capitaine jack sparrow les amis ! J’effaçai donc mon sourire sinistre et hocha la tête.

Capitaine Jack Sparrow ! Ce fut un honneur de vous aider... et de vous rencontré ! J'en ai temps rêvé.
Je lui adressai un sourire enjôleur. Les hommes... Tous les mêmes !

Maintenant... Si ça ne vous dérange pas, j'aimerais... Suivez-moi ! Il ne faut pas que ces gens nous voie.

Je partis dans un endroit plus sombre, ne dédaignant pas jeter un coup d’œil derrière moi, j'étais sur que Sparrow me suivais. Il faut dire, j'étais très apprécier des hommes... Hum ? Quoi ? Rooh, ça va ! J’enjambai le cadavre et m'arrêta devant une porte. Je l'ouvris et entra a l’intérieur.

Venez, dis-je au capitaine, qui devait être derrière moi...

[Hj: c'est court dsl]

Le capitaine Jack Sparrow m'avait suivi. Il avait l'air de connaître l'endroit ou nous étions. Normal, c'était la réserve de rhum, et tout le monde sait que Sparrow adore le rhum... Non ? Je m'arrêtai et me retourna, mon interlocuteur avait fermé la porte et m'avait lancer un sourire charmeur. Je lui rendis son sourire, tout aussi charmeur. Puis, je m'avança vers lui et plongea mes deux bouts de rêve, comme les appelait Angelica dans les yeux du capitaine.

Jack Sparrow, c'est un honneur pour moi de vous voir enfin ! Repris-je. Le secret pour avoir tout ce qu'on désire : les compliments. Il suffit juste de le caresser dans le sens du poil... Du gâteau !
Je continuai donc mon petit speech comme ceci. Enchaînant compliments sur compliments, et sourire charmeur sur sourire charmeur. Au bout d'un moment, je m'arrêta et le regardai. Je le fixai un moment, consciente qu'il faudrait passé d'une minute a l'autre à l'action. Je priai pour qu'il ne dise rien et ne discute pas que je lui prendrais son compas magique. Ah... La magie existait donc ?
Je m'approcha doucement de lui, si bien que je me retrouvai a quelques centimètre de lui. J'avançai ma tête vers la sienne et lui murmurai :

Vous pouvez changer ma vie Jack Sparrow... Oui, le capitaine pouvais changé ma vie ! Si je rapportais ce compas, Barbe Noire ne me considérerait plus comme la fillette qui ne sert a rien. Si je lui apporte ce compas, je monte en grade !

[désolé, moi non plus ce n'était pas long...]

• Tu peux être fière de moi, maman.

Oui, maman, tu sais très bien que je suis quelqu’un d’honnête. Grâce aux difficultés, j’avance. J’y vais, tout en sachant que le jour, l’heure de mon échec est déjà inscrit dans le grand livre. Mais, je n’ai peur, car avant de partir, j’aimerais savoir. Qui est mon père ? Pourquoi est-il parti ? Tu n’es pas restée assez longtemps pour me l’expliquer. Malgré ça, je compte bien trouver les réponses, moi-même. Maman, dis-moi pourquoi, j’ai froid ? Je ne comprends pas. J’ai fait tout ce que tu m’as dis. « Non, maman, s’il te plait, je veux que tu restes auprès de moi. » Mes mots ont été vide de sens, et surtout, sans aucun effet. L’ange de la mort a déposé ses ailes noires sur toi, et tu as été emporté, loin de moi. Tous les gens, autour de moi sourient, pourquoi pas moi ? Pourquoi je me retrouve seul, des gens qui ne me sourient pas. Je sens les battements de mon cœur, ma seule force. Je sens bien que, ma vie flanche. Explique-moi, pourquoi ne suis-je pas auprès de toi ? Quand je regarde plus loin que le bout de mon nez. Oui, ça m’arrive. Les gens sont heureux, en famille. Les louveteaux ont des parents, les parents ont des louveteaux. Moi, je ne suis personne. Personne ne me connaît. Pourquoi suis-je là ? Ce jour-là, tu ne m’as pas emmenée. Pourquoi ? Pourquoi ce fameux jour, étais-tu partis, sans moi ? Tu m’as protégée, et moi, je n’ai rien pu faire…

• Je suis juste en mal de ton absence

C’est la guerre dans ma « famille », en manque de repère. Besoin de personne, j’attendrai les sommets. Je sais que je suis jeune, mais je veux régner ! Je sais que je suis qu’un
jeune apprenti, mais je peux assumer. Les étapes, je veux les brûler. Je ne veux pas rester un apprenti, toute ma vie. Je n’ai même pas de mentor, d’ailleurs. Ma mère m’a appris ce qu’il me fallait savoir pour survivre, enfin, je crois, mais j’ai, malheureusement, besoin de quelqu’un qui m’apprendra le reste. Faut-il que je vous avoue, que je ne veux compter sur personne ? Je me suis forgée, seule, un caractère dont j’en suis digne. Je le revendique, à chaque instant, dès que je respire, dès que mon cœur bat. Il ne faut jamais sous-estimer. C’est ainsi qu’on perd, pas besoin d’être un ancien pour savoir ça. J’ai raison. Tu as tords. Je suis indétrônable. Bonjour la modestie ? Même pas, je suis comme je suis. Ceux qui m’aiment me suivront. Oublie la deuxième place, ça ne m’intéresse pas. Numéro un ou rien, plus qu’une devise, un rêve, une histoire, un chemin à suivre, fais-moi confiance. Je fais partis de la relève. Doucement on s’élèvera.

• Je suis

Je m’appelle Annabeth, j’ai dix-sept ans. Je suis brune et mes yeux sont bleus. J’ai oublié de préciser que je suis une pirate, rubis. Et oui, je suis une tueuse. Ma vie est semé d’embuches, j’espère un jour qu’elle prendra un sens, plus convenable.

• Il te vois

Que voulez-vous dire mi-lady?

Je leva les yeux et haussa un sourcil. Qui étais-il ? Ou étais-je ? Qui étais-je ? Tant de questions se bousculais dans ma tête.. Je fus prise d'un mal de tête horrible, comme si un petit homme attaquait ma boite crânienne au burin. Je m'assieds doucement sur une chaise, me concentrant sur ma respiration. Lente et régulière, comme toujours.

- Je... Je ne sais pas.. je ne sais plus...

Je fermai les yeux.