Histoire en pleine mer.

Invité

Nuit de pleine lune :

Il se fait tard, le soleil se couche déjà à l’horizon. Je le regarde disparaître chaque soir lorsque la vie me sollicite de nouveau. Je n’aime pas le jours, et préfère vivre la nuit, mais la nuit je ne me sens pas tout à fait vivre, je me sens moi, telle que je le suis au plus profond de moi, sûr, fidèle, forte. Je ressent cette sensation les jours… les nuits de Lunes Noires et de Pleine Lune. Le deux sœurs si semblable et pourtant si différente.
L’une qui s’éclipse pour laissait place aux étoiles et l’autre qui reflète sur les étoiles chaque bouts de sa personnalité et qui la rend encore plus forte.
Au fond de moi je sais que je suis pareil à elles, aussi mortelle que les étoiles mais aussi forte que la lumière que la Lune envoie sur ses disciples les étoiles.
Cette nuits je me sens plus démoniaque que jamais, c’est peu être parce qu’aujourd’hui nous somme le Vendredi et qui plus est le 13, tous les superstitieux expliqueront ceci comme cela, mais moi, j’aie une autre version et donc une explication toutes autres. Voilà ce que je pense.
Je suis née une nuit où la Lune était morte pour ainsi dire.

Mafurude Mifune. Le Vendredi 13 Décembre 1630.

Mafurude était une jeune fille, elle était depuis un certain temps déjà d’ailleurs. Elle était habillait d'un pantalon marron, assez léger lorsqu'il faisait chaud et à l'inverse, lorsque le temps était froid son pantalon la tenait au chaud. Elle ne portait pas de botte ou chaussures, ce qui n'était pas si extraordinaire pour des Pirates. Elle portait une chemise blanche et sa peau était anormalement bronzé, ses cheveux étaient noire et tombé sur ses épaules, ils s'amblaient usée par les années trop longues passé à naviguait sur les 7 mers et au-delà.
En faite elle vivait depuis deux siècles déjà. Elle avait vécu pendant l'âge d’or des pirates, qui commençait à déclinait, elle se trouvait apaisant au beau milieux du 18ième siècle.
Elle tenait son carnet contre sa poitrine et se décida à mettre le nez dehors. Elle avait le visage fin, et ce tenait toujours droite, et apaisait raide comme si elle avait un bâton remplaçait sa colonne vertébrale, son agilité n'était donc pas soupçonner.
Par contre, sur on lisait sur son visage et surtout dans ses yeux qu'elle semblait être née il y a bien longtemps. En effet, même si le temps ne paraissait pas avoir de prise sur elle malgré ses yeux on pouvait comprendre qu’elle a vue et fait énormément de choses toutes aussi différente les unes que les autres.
Mafurude sortie donc de sa cabine et respira l’aire du grand large. Alors, elle se mit à chantait et son chant semblait provenir des entrailles de la terre :

« Vents frais,
Vents du Matin,
Vent qui souffle au sommet des grand Pins,
Joie du vent qui souffle
Allants dans les grands
Vents frais
Vents du matin… »

Au fur et à mesure qu’elle chantait sa voie s’éclairait et monté dans les aiguë ainsi qu’elle gagnait en puissance et à mesure qu’elle chantait les voles de son bateau s’agrandissait et le vents commençait à se levait comme une brise d’abords puis de plus en plus fort, bientôt l’encre du bateau sortie de l’eau et se rangea seul à sa place, lorsque le bateau commença à avançait des voies se mirent à chantait malgré que Mafurude fut seul sur le navire.
Elle était condamnait par le tribunal des mers de Poséidon à parcourir toutes les mers pour trouvait un des descendants de son frère qui ressemblerait comme deux gouttes d’eau à son frère , pour que celui-ci puisse reprendre sa place parmi les suivants de Poséidon. Le rôle de George était de garder secret les créatures marines autre que le Kraken et avait pour second but, leurs reproduction pour qu’elles puissent prendre possession des mers et au delà…

Invité

elle est super histoire

Invité

Merci ! ça fait plaisir Very Happy

Invité

Mais de rien c'est normale !!

Invité

Tiens, je connais cette histoire^^
Félicitations, j'aime bien et James le dit aussi derrière moi^^

Invité

moi aussi je trouve que c'est magnifique mais tu connais James dans la realité?

Invité

Je ne le connais pas du tous mais il a dû la lire ailleure.
Merci les gens !
Mini suite :

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Elle avait pour seul indice qu’il ressemblait, physiquement, comme deux gouttes d’eau au père de Mafurude, qui était « typé » Anglais, car en fait s’en était un ! Il avait les cheveux brun long, et filasse qui entourais un visage émaciait, sa barbe était mal rasé, ses deux yeux étaient pareille à de l’ébène, sa peau était salie par le travaille et l’hygiène encore moins pris au sérieux à cette époque lui faisait terriblement défaut. En effet, il avait des dents noirci mais en cela son descendant ne lui ressemblait pas car, parait – il, il avait une hygiène irréprochable, ou du moins pour les personnes de son époque.
Quelques jours plus tard Le Bâteau se tenais entre deux rochés sortant de l'eau et qui commencèrent à se retrécirent lorsque le bâteau fut au millieux des deux falaises.
Mais Mafurude restait droite car elle savait que la mort ne la prendrait pas : pas avant d’avoir accomplis sa mission en tout cas.
Elle ne bougea, ni n’esquissa un mouvement jusqu'à ce les falaises ne fassent plus qu’une. Elle prit alors son sabre et le brandis en murmurant quelque chose qui semblait venir du fond des eaux. Alors il y eut un flash de lumière bleue ainsi qu’un bruit d’eaux qui coulait fortement. Les falaises avaient reprit leurs places et plus aucuns bateaux ne se trouvaient à l’horizons, ni bateau, ni épaves… Le bâtiments avait disparue.
Ce n’aie que bien plu tard qu’il réapparu à proximité des deux falaises, vers le milieux du 17ième siècle en pleine époque où les pirates ne tarderons d’ailleurs pas à décliné.

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Alors voilà la fin du 1er chapitre et comme j'aivais pas beaucoups d'inspiration je l'aie nommé :
Introduction !!
*aplose*
vous pas taper moi please è__é