Je veux en faire partie...(PV Mary)

-Ne vous en faîtes pas,il n'a pas l'habitude de mordre.

Mary le regardait avec un sourire bienveillant.elle aussi avait connu cette situation quelques jours auparavant,et savait la pression à laquelle les jeunes recrues étaient soumises.

-Vous venez pour un poste,je me trompe ?

Mary lui serra chaleureusement la main.


-Enchantée,Mary Tempête.Mais dîtes-moi,monsieur Erin...Croyez-vous avoir la force de caractère nécessaire pour ce poste ? Seriez-vous prêt à donner votre vie pour cette compagnie ?

Elle marqua une pose,pour voir la réaction du jeune garçon.

-Et savez-vous lire une carte ?

La même question que lui avat posé lord Beckett.Elle qui s'attendait à un interrogatoire serré ! Elle allait appuyé et rassuré Luigo.Une fois qu'elle serait sûre de pouvoir lui faire confiance....

Elle l'aimait bien,en fait.C'était son portrait craché quand elle était à bord du Phénix : coupe à la garçonne,un courage sans limite,une verve insolente mais juste.

-Vous avez de très bonnes chances de vous joindre à notre équipe.Vous verrez,une fois que les officiers à l'égo surdimentionné vous aurons lâché,vous vous sentirez comme chez vous ! Malheureusement,Lord Beckett est en conseil avec ces derniers,au fort.Il faudra patienter un moment.Mais je vous en prie,prenez un siège.


Mary sortit un trousseau de clefs de sa poche et déverrouilla la porte d'une vieille masure ancienement propriété de la Compagnie.Bien évidemment,elle avait été soigneusement rangée pour qu'un visiteur un peu trop curieux ne puisse pas tomber sur des documents confidentiels.

-Mon bureau,lança-t-elle fierment,même si elle savait très bien que la misérable pièce poussiéreuse n'en valait pas la peine.

-Disons qu'au début,il avait des doutes,surtout sur la qualité de mon travail.

Elle s'assit sur le rebord de la fenêtre et regarda les passants au dehors.

-Mais il possédait des choses qui m'appartenaient...alors nous avons fait un marché : nous les étudions ensemble et je sers la Compagnie.J'aurai préféré que cela reste un secret de famille,mais les temps sont durs...Vous avez de la famille à Port Royal ?

Luigo souria au récit de Mary. Elle semblait avoir vécu pas mal de choses.Mais quand elle lui demanda si il avait de la famille à Port-Royal, le visage de Luigo s'asombrisa.

-Je penses qu'une fois que j'aurais dit a Beckett que James Norrington est devenu mon beau-frère, il refuse de m'engager.Mais d'une part, je peut lui être utile.Je déteste James, je voulais le tuer mais par colère et tristesse, je me suis suiccidé pour ne pas vivre en sachant que ce Norrington passait son temps avec ma soeur.

Luigo fit une pause pour que sa colère ne prenne pas le dessus.

-Beckett a tué mon autre soeur, lorel alors qu'elle avait 7 ans. Il voulait des informations mais elle ne savait rien. Mon autre soeur a cherchée a la venger mais elle fut tuée a son tour par Beckett. Notre famille, issue d'une part de sorcier, nous avons réussi a la ramener a la vie mais maintenant nou serons incapable de le faire.Ma famille allait mourir, mais une autre personne est né, portant malheureusement aussi le nom de Norrington mais heureusement portant le nom de Erin. Je suis l'oncle de Charlie Erin Norrington, enfant que je n'ai jamais vu et que je verais sasn doute jamais. C'est la seule personne que je serais capable d'aimer de ce qui me reste encore de ma famille...

Luigo afficha un petit sourire pour brisser toute cette noirceur.

-Voilà pourquoi je veux m'engager dans la Compagnie des Indes. je ne penses pas avoir de rancune enver beckett, il a simplement fait son travail peut-être mal mais maintenant je veux détruire Norrington et les autres pirates qui on tentés de me dissuader au sujet de Norrington et kethers, les grands fautifs dans l'histoire.

Mary comprenais le jeune homme.Longtemps,cette colère avait stagné en elle,volcan en sommeil que seule la vengeance peu éteindre.

-Croyez-vous réellemnt que tuer tout ces gens pourrait ramener les êtres chers que vous avez perdus ? Le passé est douloureux,mais parfois,le meilleur des remèdes est de tourner la page et de passer à autre chose.Vous risquez de passer à coté de choses importantes...de votre vie,même.

Elle le regarda avec un regard compatissant.

-Je sais ce que c'est.Mais si vous aimez votre nièce,lui enlever son père risque de vous porter préjudice.L'existance est trop courte pour que l'on se fache avec le peu de famille qu'on a.Même si on a parfois une seconde chance,comme vous.

-Je pense,oui.Vous connaissez sûrement le chemin...Vous longez l'avenue principale,et vous y êtes.C'est la grande porte au fond du couloir,après l'escalier.

Elle se leva pour le raccompagner.

-Puis-je vous accompagner ? J'ai encore des documents à prendre là-bas.

Elle referma la porte derrière Luigo,puis la verrouilla.Elle rabatit sa cape sur ces épuales et marcha sur la route de dalles inégales d'un pas ferme.Le temps était lourd,sûrement pleuvrait-il avant la nuit.


-Mauvais temps,remarqua-t-elle.Vous croyez qu'une tempête se prépare ?

La question laissa Mary rêveuse.

-J'ai vécu quelques temps sur un navire.Une fois que l'on en a traversées une ou deux,on finit par se dire que le capitaine sait ce qu'il fait et que les risques ne sont pas extraordinaires.

Son regard glissa le long des échoppes.

-Mais certaines tempête ne brisent pas que du bois et des voiles.Ce sont elles les plus dangeureuses.Et les plus violentes.